Nödvändiga kunskap till en bättre förståelse av sömnen och dess störningar.
Informations médicales sur le Sommeil et ses implications en Médecine Générale
Articles les plus récents
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Introduktion
19-Januari-2011, av Céline -
Hemsidans ansvarige
5-Januari-2011, av CélineHemsidans innehåll ansvaras av Dr Guilhem Pérémarty, allmänläkare specialiserad inom sömnmedicin, godkänd av Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil
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"Morning-lag" et fatigue
4 janvier 2011, par guilhemLe "Morning-lag" est un des néologismes de "Sommeil et médecine générale" qui désigne les conséquences chronobiologiques d’un retard de l’heure du lever.
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Faire une sieste la plus longue possible
2 janvier 2011, par guilhemPas toujours. En général, on conseille même de mettre le réveil pour ne pas dépasser 30 à 45 minutes. En effet, une sieste trop longue risque de « bousculer » les horloges internes dans le sens d’une insomnie ou d’un décalage de phase.
Rappel : la sieste est un somnicament puissant, lire attentivement la « Notice » et bien respecter les précautions d’emploi. -
Les « grands hommes » dorment peu
2 janvier 2011, par guilhemLes historiens nous montrent que ce n’est pas toujours exact car on dit qu’Albert Einstein dormait 11h par jour...
Si on y réfléchi et à condition d’être en forme, il est avantageux d’être court dormeur.
Nb. Les choses ne se présentent pas toujours telles qu’elles sont : on dit que Napoléon était un court dormeur qui profitait de ses éveils nocturnes pour préparer ses plans. Plus tard sa capacité à dormir au milieu du danger, parfois présentée par ses hagiographes comme du courage, peut correspondre à (...) -
La sieste est toujours une bonne habitude
2 janvier 2011, par guilhemPas toujours, seulement si on le vaut bien.
Chez la plupart des gens, la sieste doit demeurer occasionnelle. La sieste est le moment privilégié de la journée pour compléter le sommeil diurne s’il est insuffisant (travail de nuit). Chez le gros dormeur elle est très souvent le signe d’appel d’une somnolence diurne excessive qui doit conduire à une exploration du sommeil (apnée du sommeil ?).
N.B. Inversement, chez les personnes insomniaques la sieste est à l’origine d’un véritable cercle vicieux : (...) -
L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt
2 janvier 2011, par guilhemC’était certainement vrai, avant l’invention de la lumière électrique mais cela se discute bien davantage de nos jours. Dans une société moderne, la généralisation du travail nocturne vient remettre ce proverbe en question.
Les sujets « lève-tôt » (typologie matinale extrême) sont souvent incapables de travailler tard ou la nuit !
« Le travail de nuit appartient à ceux qui se lèvent tard ! »
À l’époque où toutes les activités humaines s’arrêtaient au coucher du soleil, ce type de dormeur était (...) -
Il faut dormir « au moins » 7 ou 8 heures par jour
2 janvier 2011, par guilhemOui, la moyenne chez l’adulte est autour de 7 heures et demie. Mais de fait la durée normale du sommeil est très variable : une personne sur quatre dort moins de 6 heures ou plus de 8 heures.
La durée du sommeil est en grande partie génétiquement déterminée. En réalité, le seul critère de « normalité » est la sensation d’être bien reposé au réveil et en pleine forme dans la journée.
la durée du sommeil est inversement proportionnelle à son rendement. Un bon sommeil est un sommeil profond et efficace : « (...) -
Les bons dormeurs ne se réveillent pas la nuit
2 janvier 2011, par guilhemSi, en réalité sans le savoir même les bons dormeurs se réveillent la nuit.
Tous les enregistrements du sommeil montrent que le sommeil normal est parsemé de micro-éveils qui ne durent que quelques secondes. En temps normal, quand il n’y a pas de danger ces micro-éveils sont suffisamment courts pour ne pas être perceptibles. Mais en cas de danger, ils représentent un facteur de survie car ils nous permettent de nous réveiller..
Par contre, le mauvais dormeur, celui qui s’inquiète de ne pas arriver (...) -
Rester plusieurs jours sans fermer l’œil
2 janvier 2011, par guilhemChez la majorité des insomniaques , le temps total de sommeil reste dans des limites physiologiques (8h ± 3h).
Les privations de sommeil conduisent, elles, à la folie et à la mort plus rapidement que les privations de nourriture. (Un sujet qui ne dormirait absolument pas depuis plusieurs jours serait dans l’impossibilité de venir en parler). Par contre, les insomniaques souffrent, parfois depuis des années, de difficultés d’induction ou de maintien du sommeil. L’angoisse d’anticipation et ses (...)