En l’absence d’éclairage somnologique, les troubles fonctionnels neurodystoniques qui traduisent un syndrome d’hyposommeil sont mal pris en charge et occasionnent un risque iatrogénique.
Informations médicales sur le Sommeil et ses implications en Médecine Générale
Articles les plus récents
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Le Train du syndrome d’hyposommeil
4 novembre 2006, par guilhem -
Pseudo Vrai-malade
4 novembre 2006, par guilhemEn l’absence de considérations chronobiologiques, le mode de pensée du système médical introduit un biais qui conduit à faire évoquer un faux diagnostic.
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Test de dépistage
26 octobre 2006, par guilhemTest interactif de dépistage des troubles du sommeil (16 pathologies).
Le test s’effectue en deux temps :
Un bref questionnaire de dépistage général.
Une liste de 51 items qui faut prendre le temps de lire (5 mn) pour sélectionner ceux qui vous concernent.
Merci de préciser simplement votre prénom, âge et sexe, pour aider à la validation (anonyme) des résultats. -
Chronobiologie de la sieste
26 octobre 2006, par guilhemLa sieste est la clef de voûte de l’équilibre chronobiologique du sommeil mais ne doit pas contribuer à masquer une somnolence excessive pathologique.
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Système d’alarme
21 octobre 2006, par guilhemLa fatigue peut s’exprimer par une véritable sensation de danger qui a valeur de signal d’alarme dans un contexte de décompensation de l’équilibre du sommeil.
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Tête
18 octobre 2006, par guilhemLa tête est le siège de nombreux troubles fonctionnels neurodystoniques.
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Quizz
16 octobre 2006, par guilhem -
Colopathie et sommeil
12 octobre 2006, par guilhemL’abdomen est le siège de nombreux troubles fonctionnels neurodystoniques. que l’on rattache aux soucis ou au "stress", mais également, et avec bon sens, à la fatigue.
Les décalages chronobiologiques (comme le jetlag ou le travail de nuit) produisent exactement les mêmes symptômes. -
Copyleft
12 octobre 2006, par guilhem
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Stress ou événements de vie et sommeil
10 octobre 2006, par guilhemEn somnologie, la notion de "stress" est, selon nous, trop restrictive.
Tous les événements de vie possèdent un effet "somno-toxique" mais leur impact sur l’efficacité du sommeil est souvent indépendant de leur intensité objective.